A partir d’une feuille blanche, le nouveau directeur national des ventes américaines devait développer un processus de vente et de marketing dédié aux États-Unis : « les deux premières années, c’était énormément de route, de déplacement, de défrichage et de présentations. J’en ai serré des mains et j’en ai rencontré du monde! Il fallait que je me bâtisse un réseau de contacts ». Pour réussir, il a dû rouler plus de 100 000 kilomètres par année! Il a visité tous les états américains, et ce, à plus d’une reprise : « Il fallait présenter notre produit. Je ne peux pas mettre un Spacekap dans un avion et l’amener dans ma valise! Je dois m’y rendre en pickup pour le montrer aux futurs clients. Au début c’était la méthode essai-erreur pour finalement trouver la bonne recette. On a alors commencé à me faire confiance. Dans les premières années, 80 pour cent de mon travail consistait à faire connaître Spacekap et démontrer ses avantages indéniables.  Pour les convaincre, je leur disais qu’au Québec, tu ne peux pas rouler plus de 15 minutes sans apercevoir un Spacekap. »